Dans une vaste chambre souterraine, des sculptures s'entremêlent dans la paroi d'une caverne. Apparaissent des visages grimaçants ou hilares, des monstres griffus et difformes. Leurs yeux sont gonflés, les bouches ouvertes comme s'ils criaient de douleur. Leur taille leur donne un aspect presque bestial.

Que cherchent-ils à nous dire ?

Cette galerie peuplée d'environ 400 petits hommes est-elle le fruit de tailleurs de pierres ou bien celui d'artistes contestataires initiés à des rites secrets ? Des guérisseurs peut-être ? ou bien des scènes sur l'enfer ?

On peut visiter cette grotte. Pour en savoir plus sur les visites, c'est ici : VISITES TOURISTIQUES 

Si vous l'avez déjà visité, donnez-nous vos impressions sur votre visite !

En 1681, un solda trouva, près de Grenoble, une tombe scellée qu'il ouvrit.

Dans cette tombe brûlait une lumière étrange enfermée dans une "bouteille de verre". Le soldat donna cette lampe à un monastère, dans laquelle elle brûla pendant plusieurs mois, jusqu'à ce qu'un moine maladroit la casse.

Mais cet exemplaire de lampe perpétuelle n'était ni le premier, ni le seul. 

On connaît des témoignages de lampes perpétuelles datant de l'Antiquité. On les trouve souvent (mais pas obligatoirement) dans des tombeaux, dont certains étaient fermés depuis 1500 ans ! 

Ce ne sont pas des effets de phosphorescence qui font briller ces lampes, mais on ignore absolument d'où elles viennent et comment elles fonctionnent.

Se pose alors une question remontant à l'Egypte ancienne : comment les peintres et sculpteurs de tombeaux s'éclairaient-ils ? Dans ces longs et étroits boyaux obscurs, il n'y a pas de trace de la suie habituellement laissée par des torches et des lampes à huile. Quant à la réflexion de la lumière du jour par des miroirs de plaques d'argent, elle n'est efficace que sur quelques mètres. En revanche, dans un temple de la déesse Hathor à Denderah, des bas-reliefs mystérieux évoquent exactement des ampoules électriques. On n'a pas d'explications à  ces bas-reliefs.

Depuis les années 80, les Anglais (pour les deux tiers) mais aussi des habitants de 70 pays voient parfois se dessiner dans leurs champs de céréales des figures circulaires plus ou moins complexes que l'on nomme "crop circle" (cercles de céréales) ou, de façon plus savante "Agroglyphes".

On aperçoit au sol des parties où les végétaux sont couchés, mais c'est surtout par avion ou hélicoptère que ces agroglyphes se révèlent. Ces cercles dans les blés presques mûrs se produiraient au rythme de 200 à 300 par été et mesureraient plusieurs dizaines de mètres de diamètre. 

On en connaît aujourd'hui environ 5000.

Qui peut bien créer ces crop circles ? Et dans quel but ? 

Si parfois on a pu déterminer qu'il s'agissait de canulars, la majorité des Agroglyphes restent sérieux.

Pour certains, il s'agirait d'extraterrestres qui feraient ces cercles. Ils auraient une technologie assez avancée pour les créer.

Pour d'autres, cela serait des expérimentations de militaires, faites avec des armes ultra-sophistiquées, et auxquelles on donne des formes inusitées pour égarer l'opinion publique entre canulars d'étudiants et oeuvres ridicules d'extraterrestres.

Dans tous les cas, on peut remarquer que depuis l'apparition des crop circles, leur structure s'est considérablement diversifiée et complexifiée, selon des modèles mathématiques précis et déployant une réelle beauté.

Par ailleurs, les blés couchés qui forment le dessin sont pliés non par cassure, mais par déformation des noeuds des tiges les plus proches du sol. Cela ne ressemble pas du tout à des végétaux cassés ou écrasés. On dirait qu'ils ont subit une altération de leur structure même.

Encore un mystère de plus non élucidé !